Voir

Publié le par Natacha Verstaevel

J’ai toujours voulu voir ce que j’avais envie de voir. Comme si cet imaginaire d’enfant était resté.

On peut voir aussi ce que notre conscience essaye de nous faire comprendre. Car en elle est inscrite toute votre vie, notre manière d’être.

L’objectif étant de voir ce que l’on a besoin de voir et d’entendre.

Tout cela se passe au début d’une réflexion où l’on veut savoir ce qu’ il faut qu’on fasse pour être en correspondance avec soi-même. Au final être capable de voir ce qu’il faut voir sans aucune crainte, peur ou même doute pour ne pas influencer votre perception des choses.

C’est comme voir le meilleur en toute chose, atteindre ses objectifs à force de détermination et se voir réussir.

Voir l'esprit de chacun, son âme, ses énergies qui l’entoure de différentes couleurs.

Voir d’autres mondes et probablement celui dont vous appartenez, pouvoir se sentir bien dans un lieu inconnu de tous, être capable d’imaginer toute situation pour mieux se préparer et éviter les difficultés,

Être tolérant et garder sa largeur d’esprit pour laisser librement parler ceux qui atteignent certaines valeur spirituelles et parvenir à voir ce qu’ils ont à nous dire.

C’est pour cela que je tiens à vous faire percevoir la où je vais de temps en temps.

Ma parcelle de terre où je m’évade de temps en temps tient en suspend dans l’air où la lumière garde son intensité en permanence. On y perçoit du jaune et du blanc à perte de vue. Au loin on peut voir d’autres personnes pleines de sagesse qui ont fait de leur mieux pour garder le bien sur la terre et rendues utiles le temps qu’il leur a été imparti dans notre monde. Alors j’observe ce lieu tranquille et apaisant assise sur une pierre plate qui surplombe mon territoire, la vue est infinie et un chant doux capable d’anéantir tout chagrin se fait entendre. C’est le chant de la terre qui redonne espoir qui atteint toutes les longueurs d'ondes.

Il y a d’autres endroits où je me rends juste pour travailler mon énergie. J’ai suffisamment de place pour dégager une énergie, une sphère de lumière intense qui s’éparpille autour de moi. Là, la terre se voit à perte de vue, tout est jaune et orange, mon énergie, elle, est blanche. Des lignes de lumière s’éloignent de moi sans que je puisse voir où elles atterrissent. L’atmosphère est apaisant, et je peux voir cette fois les demi-sphères de lumière parcourir le tour de la Terre. Le regard absorbé, je souhaite le meilleur qui peut encore arriver sur notre monde. Pouvoir se sentir bien et utile. Sentir le monde dégager aucune souffrance, comme si personne ne parvenait à créer le mal et qu’en même temps d’autres ne sentaient plus leur douleur. Un temps s’arrête, celui du mal, finalement destiné à s’autodétruire, et un sentiment de liberté me gagne. Je me sens libre d’avoir choisi entre le bien et le mal et de gagner cette plénitude.

Pourtant si simple à réaliser, le bonheur est bien la valeur la plus complexe que l’être humain doit répandre. Impossible selon lui de rendre tout le monde heureux en même temps comme s’il n’existerait plus rien une fois que tout le monde y serait. Pour l’instant, je continue mon existence en prenant conscience de tout ce qui m’arrive.

Voir que l’on peut réunir les bonnes personnes pour répondre aux bonnes questions. Essayer de trouver ce que la terre a besoin pour respirer, comment créer des produits non polluants et entièrement recyclables. Voir ce que l’espace nous réserve, quel est le prochain astéroïde qui aura comme destination la Terre. Pouvoir basculer de l’infiniment petit à l’infiniment grand pour rien oublier et faire un décompte de notre capacité à détruire et utiliser nos capacités à guérir.

Nos guerres et ces champs de batailles inconnus, ces gens qui ont versé leur sang pour bâtir un monument. Pourtant en aucun cas les vies sacrifiées ne donnent une solution au problème qui a engendré ces combats. Ces personnes qui encore à l’heure actuelle ne mangent pas à leur faim, d’autres souffrent inutilement puisque certains le veulent. On peut pas dire qu’on n’y peut rien et que rien y changera car c’est parce qu’on le veut bien que toute ces souffrances existent. S’il est de notre volonté de détruire les autres et de s’autodétruire par n’importe quel moyen, tout cela fini par se réaliser.

Par contre créer le paradis sur terre, c’est bien plus compliqué. Comprendre l’harmonie qui existe entre chacun pour se rendre compte que le paradis n’est plus si loin.

D’autres personnes n’auront pas cette culpabilité d’avoir commis tant d’erreurs, et apprendront à les réparer. Peut-être que l’on attend qu’il n’y ait plus aucun coupable en vie sur terre pour cesser de produire ces destructions. Et là seulement, le règne animal s’en portera mieux et notre nature aussi, se rendre compte que nous vivons de leur existence. C’est grâce à la terre que nous sommes en vie, comment peut-on vouloir la détruire.

Toutes ces discutions aux valeurs spirituelles tentent de rattraper ce qui nous a le plus manqué. Mais l’aspect destructeur de l’être humain ne nous permettra pas de comprendre comment l'être humain a pu aller aussi loin.

Heureusement que certains savent à quel point le bonheur est précieux, que l’on peut avoir confiance.

Cela n’est pas si difficile à réaliser, qu’en effet, favoriser le facteur humain au facteur économique n’est pas encore d’actualité tant on a donné trop de valeur à l’argent. Alors que c’était juste un moyen d’organisation et non une capacité à conquérir le monde, l’argent et tout ce qu’elle permet d’acheter nous empêche de voir qui nous sommes, tant on est attaché à ce que nous avons

Se demander comment l’être humain a t-il pût être aussi influençable par le mal même s’il est plus facile à réaliser. Se demander comment on a pu laisser faire ça, qu’est-ce qui nous a inspiré.

Nous avons oublié notre liberté; celle qui permet à chacun de se sentir bien, d’être heureux d’avoir accompli ce qu'il voulait faire.

Voir que l’on est capable de changer ce qui existe pour l’améliorer.

Voir sa propre vie défiler et y faire un bilan, voir où on en est, à qui on doit quelque chose ou recevoir. Apprendre à vivre avec le passé, continuer à apprendre dans le présent et se projeter dans l’avenir. Atteindre la pensée créatrice à force de réaliser ce que l’on souhaite, et être la personne que l’on aurait toujours dû être sans jamais avoir connu le mal.

Mais tout ça n’arrivera pas sans difficultés pour chacun, toute erreur commise sera réparée pour finir par apprendre à ne plus les commettre. Il faudra avoir la conviction de vouloir s’en sortir tant la capacité de détruire de certains est forte. Souhaitons leur de comprendre que cela ne résoudra pas leur problème. Il faudra croire aux forces de notre esprit, en notre longueur d’onde. Car toute personne qui passe d’une existence dans le mal et va vers le bien bascule de l’autre côté et finalement atterrit à l’opposé de la où elle était. Et devient capables de grandes choses. Toute personnes qui souffre peut rendre le mal subit, et d’autres, comprendre certains passages de la vie douloureux.

Voir la lumière… et juste voir la terre se libérer de toutes les armes de notre monde, comme dissoutes soudainement, ne méritant pas leurs existences dans nos vies. Voir l’air et l’eau se débarrasser de tout élément qui porte atteinte aux êtres en vie, évaporé et nettoyé dans un calme impressionnant. Voir le bien ne plus nous permettre de s’autodétruire telle une force grandissante pouvant gagner chaque corps et nous aider à atteindre d’autres destinées meilleures.

Goûter à la plénitude de la Terre, et à ce quelle a toujours voulu nous offrir.

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